La paix est un sport de combat : retour d’un colloque au Sénat

Vendredi dernier s’est tenu toute la journée au Sénat, à l’initiative des écologistes, un grand colloque consacré à la paix et au multilatéralisme. L’occasion de rappeler, à l’heure de la course généralisée au réarmement, y compris nucléaire, que la guerre et la fin du multilatéralisme ne sont pas une fatalité et qu’il est grand temps que les peuples de la planète, dont l’immense majorité est pour la paix, fassent entendre leurs voix :

Ah le Sénat, cet Ehpad luxueux en plein cœur de Paris, dont les somptueux salons du Palais du Luxembourg ont accueilli depuis 1631 d’illustres personnalités comme la Duchesse de Montpensier, le régent Philippe d’Orléans, le Comte de Provence, futur Louis XVIII, ou encore Victor Hugo, qui fut élu sénateur en 1871, au tout début de la IIIe République. Depuis 1958, le Sénat est la chambre haute du Parlement français, selon notre système bicaméral[1], et détient le pouvoir législatif avec l’Assemblée nationale. En vertu de l’article 24 de la Constitution de la Ve République, il représente les collectivités territoriales. Les territoires ruraux y sont ainsi surreprésentés, et le Sénat a été quasiment sans discontinuer à majorité de droite depuis 1958, excepté une toute petite période entre 2011 et 2014. La gauche française a eu donc une opportunité historique de tout changer à ce moment-là et n’en a rien fait, mais c’est une autre histoire.

Cour centrale du Sénat le 14 nov. 2025 © Benjamin Joyeux

Si je suis au Sénat à Paris ce vendredi, descendu de mes montagnes de Haute-Savoie, c’est pour assister à un colloque dédié à la paix, aux guerres et à la souveraineté, et y animer la dernière des tables rondes de la journée consacrée au « réarmement à l’épreuve de la crise climatique et sociale ». Ce qui ne constitue pas un sujet annexe, alors que la COP30[2] se tient actuellement et jusqu’au 21 novembre à Belém au Brésil, aux portes de l’Amazonie. En effet, selon un rapport publié en 2022 par le Scientist for Global Responsibility, l’empreinte carbone de l’ensemble des armées à travers la planète représenterait au moins 5,5% du total des émissions mondiales de gaz à effet de serre, à comparer par exemple aux 2% de l’aviation civile mondiale[3]. Donc pour le dire simplement, et au cas où ça vous aurait échappé, paix et climat = même combat. C’est aussi pour cela que bien souvent les écolos restent d’indécrottables pacifistes, dont je suis.  

Nostalgie politique

Mais bien avant d’envisager ce type de réflexions, lorsque je pénètre dans les bâtiments du Palais du Luxembourg, dont la façade principale est en pleine rénovation, par le 15ter de la rue de Vaugirard, ce vendredi 14 novembre peu après 9h, je suis tout d’abord assailli d’une immense vague de nostalgie. De type saudade, triste d’être content d’être triste, d’avoir quitté cette vie d’assistant parlementaire. Une vie qui a duré à peu près dix ans et dont les deux premières années furent passées dans ce Palais, au service alors d’une sénatrice déjà écologiste. Nous n’étions pas nombreux à l’époque (2006) à y défendre l’écologie politique. Quatre parlementaires et leur petite équipe, Dominique Voynet, Alima Boumediene-Thiery, Jean Desessard et Marie-Christine Blandin, noyés pour les réunions de groupe au sein des socialistes. A l’époque un certain Jean-Luc Mélenchon y officiait et prenait souvent la parole, mais jamais pour parler d’écologie d’après mes souvenirs. Je me rappelle d’une Chambre bien plus calme qu’à l’Assemblée nationale (où je travaillerais quelques années plus tard), où l’on pouvait suivre les dossiers de fond et rédiger les amendements au calme, loin de l’agitation médiatique. Les réseaux sociaux n’avaient pas encore pris toute la place et le temps de cerveau disponible pour la communication politique. De plus la cantine des assistants du Sénat, bien que de moins bonne qualité que celle de leurs employeurs, restait une des meilleures de Paris en termes de qualité-prix.

Bref beaucoup d’images me reviennent en ce vendredi matin. Je me dis surtout qu’à l’époque tous mes idéaux étaient intacts, persuadé que la paix mondiale et la transition écologique étaient à portée de main. Le Sénat était majoritairement à droite, mais à l’UMP de Chirac encore à l’Elysée, personne ou si peu n’envisageait même l’idée de collaborer avec l’extrême droite. Laurent Wauquiez, notre inénarrable « conseiller spécial » d’Auvergne-Rhône-Alpes, était alors plus jeune député de l’Assemblée, arrivé dans les bagages de Jacques Barrot, donc bien loin idéologiquement des délires ultra-nationalistes et racistes de « grand remplacement » portés par son désormais ami et allié, le délinquant multirécidiviste Eric Zemmour[4].  

Près de 20 ans plus tard, y’a comme qui dirait un goût de cramé. Quelque chose a bien dérapé, et tout le pays semble glisser inexorablement vers la connerie et la méchanceté généralisées. En tous cas du côté d’une bonne partie des « élites » politico-médiatiques. Mais l’extrême droite, comme la guerre, n’est pas une fatalité.

Relever la tête

P. Boniface au centre, A.C. Robert à droite © Benjamin Joyeux

Le colloque du jour se déroule dans la salle Clémenceau et a été organisé par Guy Benarroche[5], sénateur écologiste des Bouches-du-Rhône, et la commission Paix et désarmement des Ecologistes[6]. Lorsque j’entre dans la salle, la première table ronde sur « le multilatéralisme à l’épreuve des conflits » a commencé et Anne-Cécile Robert[7] est en train de parler. Journaliste spécialisée sur les institutions européennes et l’Afrique, elle est également membre du comité de rédaction et du directoire du Monde Diplomatique, journal dans lequel j’effectuai mon tout premier stage de journalisme après mes études en 2004. Elle y écrivait déjà à l’époque et je me souviens notamment de son bureau sur lequel des piles de livres plus gros les uns que les autres s‘amoncelaient. Etrangement, je n’imagine pas du tout les bureaux actuels des journalistes de BFM ou de CNews encombrés de la même façon. Anne-Cécile Robert, déplorant le retour de la brutalité à l’échelle internationale directement lié à la crise profonde de nos démocraties, plaide pour une ONU recentrée sur ses missions essentielles et rappelle que la France reste un pays dont la voix porte, malgré la profonde faillite de nos dirigeants, médiocres sur la question internationale depuis trop longtemps. Certes n’est pas Talleyrand qui veut, mais quand je repense au passage de Stéphane Séjourné ou encore de Catherine Colonna au Quai d’Orsay, je ne peux qu’être d’accord avec elle.

Pascal Boniface prend ensuite la parole, continuant d’entretenir ma saudade matinale. En effet, juste avant mon stage au Monde Diplomatique, j’avais effectué mon DESS (Master de l’époque) de relations internationales à l’IRIS[8], dont Pascal était directeur et un de mes professeurs, entre 2003 et 2004. Décidément ce colloque constitue pour moi un retour aux sources. Pascal annonce d’emblée n’être pas vraiment « porteur de bonnes nouvelles » concernant son cœur de métier, la géopolitique, mais rappelle que les écologistes devraient se faire plus entendre sur les relations internationales. Il souligne surtout que le deux poids deux mesures actuel des Européens en matière de droit international entre l’Ukraine et Gaza, mettant en avant des principes que l’on foule au pied quand ils concernent le Proche-Orient, constitue « une insulte à l’intelligence ».  Soulignant également que les Européens doivent fournir désormais eux-mêmes les armes à l’Ukraine mais achetées aux Etats-Unis, nous nous faisons donc en permanence humilier par Trump, comme Ursula von der Layen sur un terrain de golf en Ecosse en juillet dernier[9], sans répliquer à la hauteur des enjeux. « On perd notre crédibilité stratégique en Ukraine et notre crédibilité morale à Gaza », insiste le directeur de l’IRIS. Difficile d’être en désaccord avec ce constat très clair, qu’on n’entend jamais dans les médias mainstream qui rabâchent pourtant en permanence sur le thème du « bon sens ».

Anne-Cécile Robert, répondant ensuite aux questions de la salle, insiste sur le fait que malgré le retour des conflits et de la brutalité, l’immense majorité des peuples de la planète veulent pourtant la paix et le règlement pacifique des conflits. Et porter ce point de vue devrait être le rôle de la France qui est à la bonne place pour cela. Résonne alors dans ma tête cette fameuse citation de La Boétie : « Ils ne sont grands que parce que nous sommes à genoux. »

Arrêter le délire nucléaire

La deuxième table ronde pose la question de savoir si l’Europe se trouve dans une impasse sécuritaire et nucléaire, avec notamment une première intervention passionnante de Benoît Pélopidas[10], professeur à Sciences Po et fondateur du Nuclar Knowledges, 1er programme universitaire français de recherche sur le nucléaire qui soit indépendant et transparent sur ses sources de financements. Celui-ci souligne dans son intervention la dangerosité et l’insoutenabilité totale de la course aux armements nucléaires, déconstruisant notamment les croyances autour de la dissuasion[11] et en appelle à « une stricte suffisance comme projet et proposition ».

Jean-Marie Collin, directeur France de la campagne ICAN[12], présente ensuite l’importance fondamentale du TIAN, pas le gratin de légumes mais le Traité sur l’Interdiction des Armes Nucléaires[13], signé à l’ONU en 2017 et ratifié en 2021, dont le volet humanitaire a permis d’ouvrir le débat sur les conséquences sanitaires, sociales et environnementales des plus de …. 2000 explosions nucléaires qui ont eu lieu depuis 1945. Avec 97 états signataires dont 6 membres de l’Union européenne, ce traité est un instrument juridique concret et fondamental de prévention de la guerre. On attend toujours que la France, qui aime donner des leçons au monde entier, se positionne enfin sur le TIAN. D’ailleurs Guy Benarroche a posé la question au Premier Ministre en mars dernier[14].

Après avoir entendu ces deux experts, il semble certain que la fuite en avant actuelle autour du nucléaire, à l’heure du dépassement de la septième limite planétaire, constitue bien moins une solution qu’une impasse mortifère.

Avant de reprendre les débats de l’après-midi, un repas est offert par le sénateur des Bouches-du-Rhône de l’autre côté du Sénat, au siège de la Présidence, ou Petit Luxembourg, dans ses salons de Boffrand[15]. L’ambiance feutrée et la qualité du buffet, où même un végétarien comme moi arrive à y trouver son bonheur, en feraient presque oublier que ces lieux, qui accueillirent notamment le Cardinal de Richelieu, sont surtout occupés désormais par Gérard Larcher[16]. Grandeur et décadence de l’Histoire !

Salons de Boffrand le 14 nov. 2025 © Benjamin Joyeux

Construire la paix malgré tout

L’après-midi débute par une table-ronde autour de la culture de la paix, avec une première intervention de Bertrand Badie, célèbre professeur à l’IEP de Paris[17], soulignant cet aspect essentiel que « la paix est infiniment plus que la non-guerre ». Ce grand spécialiste des relations internationales rappelle que bien avant Hobbes, il y a eu Aristote liant la paix à la recherche du bonheur bien plus qu’à la seule absence de conflit. La paix n’est donc pas un simple domaine technique réservé aux militaires et diplomates mais un combat social beaucoup plus vaste à mener de front. La preuve, depuis 1945 les quelques 500 conflits qui ont eu lieu étaient dus principalement à des problématiques sociales et environnementales et non à des compétitions entre puissances, comme la guerre en Syrie née de la désertification accrue à l’est du pays. Le vrai problème de la paix est donc celui de la justice sociale et environnementale. Et Bertrand Badie insiste sur l’énergie sociale comme paramètre dominant de la conflictualité internationale, sur laquelle il faut travailler politiquement, avant de conclure sur l’importance fondamentale de l’éducation à la paix par la connaissance de l’altérité.

De g. à dr. Laura Lema Silva, Amber French la modératrice, Bertrand Badie et A. Christoyannopoulos © Benjamin Joyeux

Une altérité parfaitement illustrée ensuite par Laura Lema Silva[18], professeure spécialiste des mouvements sociaux autochtones en Colombie, démontrant par ses recherches les sens pluriels du concept de paix envisagé du point de vue de certains peuples autochtones. Et celui qui lui succède à la tribune n’est pas en reste, Alexandre Christoyannopoulos[19], professeur franco-grec enseignant à la Loughborough University au Royaume-Uni et auteur de nombreux ouvrages sur le pacifisme et la non-violence, insistant sur l’inefficacité de la violence et la nécessité de la mise en place de la DCNV, la défense civile non-violente[20]. Par exemple, boycotter totalement le gaz russe plutôt que de l’acheter hypocritement via la Chine ou l’Inde serait beaucoup plus efficace pour contrecarrer les visées impérialistes de Poutine que de se relancer dans une course aux armements en Europe. Que ces mots sonnent doux à mes oreilles et me rappellent les paroles de Rajagopal[21], croisé récemment à Genève : « Dans vos pays d’Europe vous devriez avoir des ministères de la paix plutôt que de la défense et dépenser au moins autant d’argent au service de la paix plutôt qu’au service de la guerre et du réarmement. » Pour illustrer ces propos, il suffit de voir qu’en 2024, plus de 2700 milliards de dollars[22] ont été dépensés pour les armes à l’échelle mondiale, à comparer aux 5,4 milliards de dollars de l’ONU[23] pour ses opérations de maintien de la paix, soit 500 fois moins.

La dernière table ronde de la journée, que j’ai l’honneur d’animer, aborde enfin la question du réarmement à l’aune des enjeux sociaux et climatiques, avec tout d’abord Anne Morelli, historienne belge et autrice notamment de principes élémentaires de la propagande de guerre[24], qui démontre parfaitement comment à travers notre histoire récente, ce sont toujours les mêmes techniques qui reviennent pour justifier l’injustifiable, en l’occurrence la guerre. Cécile Dubernet[25], Maîtresse de Conférences en relations internationales à l’Institut Catholique de Paris insiste ensuite sur le concept de « sécurité humaine »[26] développé par le PNUD dès 1994, rappelant avec Camus que « la paix est le seul combat qui vaille la peine d’être mené. » Patrice Bouveret présente le travail de l’Observatoire des armements[27] qu’il dirige et a cofondé, rappelant notamment l’existence de l’article 26 de la Charte des Nations Unies censé réguler et réduire strictement le nombre nécessaire d’armes en circulation[28]. Puis Catherine Hervieu[29], députée écologiste depuis 2024 et membre de la commission de la Défense, conclut cette table ronde par l’état de la politique actuelle en France, la menace de l’extrême droite, et l’urgente nécessité d’agir sur les territoires pour déconstruire un certain nombre d’idées reçues.

Après cette journée extrêmement riche en débats, profitant d’un temps clément et d’une relative chaleur pour un mois de novembre, je m’éloigne du Palais du Luxembourg en marchant à pied jusqu’aux quais de Seine, ma saudade alimentée par la lumière toujours aussi envoutante des monuments parisiens, toujours là dix ans après. Ils ne me font nullement regretter ma fuite en montagne, mais apprécier d’autant plus mes treize belles années parisiennes passées.

Pont des Arts le 14 nov. 2025 © Benjamin Joyeux

Tout cela pour dire que cette journée au Sénat m’a rasséréné dans mes convictions en faveur de la non-violence et de la paix, enrichie par des arguments solides d’universitaires reconnus, très loin des débats débiles actuels de plateaux télé. Comme disait Coluche : « Ce n’est pas parce qu’ils sont nombreux à avoir tort qu’ils ont raison. »

Je préfère nettement quand les écolos travaillent ainsi sur le fond, loin des projecteurs, que lorsqu’ils se lancent dans un aventurisme électoral sans lendemain, comme lors des épisodes d’élection présidentielle. Surtout sur le sujet de la paix que tant de doxosophes de salon semblent ne plus vouloir aborder.

Ne jamais oublier avec Simone Weil que : « La paix est la vertu des forts. »   

Benjamin Joyeux


[1] Lire par exemple https://perspective.usherbrooke.ca/bilan/servlet/BMDictionnaire/1470

[2] Pour tout comprendre de la COP30, lire notamment : https://reporterre.net/Fossiles-forets-plan-climat-Les-5-enjeux-de-la-COP30

[3] Lire https://www.tni.org/en/publication/climate-collateral

[4] Lire notamment https://www.liberation.fr/politique/laurent-wauquiez-naurait-aucun-probleme-a-soutenir-eric-zemmour-a-la-presidentielle-20251117_PJPQHRIHKZGBNO2A4P7GZWUXGM/

[5] Voir https://www.senat.fr/senateur/benarroche_guy20110q.html

[6] Voir https://commissions.lesecologistes.fr/trombinoscope/5fTYOU486ekL0gMdzV3ulv/paix-et-desarmement

[7] https://fr.wikipedia.org/wiki/Anne-C%C3%A9cile_Robert

[8] Institut de Relations Internationales et Stratégiques, voir https://www.iris-france.org/

[9] Lire par exemple https://euractiv.fr/news/en-ecosse-un-trump-decomplexe-impose-sa-diplomatie-du-golf/

[10] https://www.sciencespo.fr/ceri/fr/annuaire/pelopidas-benoit/

[11] Voir https://www.youtube.com/watch?v=yM9hMxGiIFs

[12] Voir toutes les infos sur https://icanfrance.org/

[13] Lire https://fr.wikipedia.org/wiki/Trait%C3%A9_sur_l%27interdiction_des_armes_nucl%C3%A9aires

[14] Lire https://www.senat.fr/questions/base/2025/qSEQ250303722.html

[15] https://www.senat.fr/connaitre-le-senat/patrimoine/le-petit-luxembourg.html

[16] Le Président actuel du Sénat et grand ami des chasseurs, lire par exemple : https://www.lechasseurfrancais.com/chasse/interview-exclusive-gerard-larcher-president-du-senat-les-communes-ne-doivent-pas-etre-des-guichets-de-letat-78584.html

[17] https://fr.wikipedia.org/wiki/Bertrand_Badie

[18] Voir https://www.institutdesameriques.fr/annuaire/laura-lema-silva

[19] https://www.lboro.ac.uk/subjects/politics-international-studies/staff/alexandre-christoyannopoulos/

[20] Lire https://nonviolence.fr/Pour-une-defense-civile-non-violente#:~:text=La%20d%C3%A9fense%20civile%20non%2Dviolente,…)%2C%20la%20solidarit%C3%A9

[21] Lire notamment https://lecourrier.ch/2024/06/02/un-urgent-besoin-de-non-violence/

[22] Voir https://www.lesechos.fr/industrie-services/air-defense/en-2024-les-depenses-militaires-mondiales-ont-connu-une-hausse-sans-precedent-depuis-la-fin-de-la-guerre-froide-2162138

[23] Voir https://www.tresor.economie.gouv.fr/Articles/2025/07/31/negociation-par-le-service-economique-des-budgets-2025-2026-des-operations-de-maintien-de-la-paix-omp-de-l-onu#:~:text=La%205%C3%A8me%20Commission%20a%20approuv%C3%A9,les%20int%C3%A9r%C3%AAts%20fran%C3%A7ais%20et%20europ%C3%A9ens.

[24] Voir https://fr.wikipedia.org/wiki/Principes_%C3%A9l%C3%A9mentaires_de_propagande_de_guerre

[25] https://www.icp.fr/recherche/unite-de-recherche/membres-de-lunite-de-recherche/cecile-dubernet

[26] Lire https://fr.wikipedia.org/wiki/S%C3%A9curit%C3%A9_humaine

[27] Voir https://www.obsarm.info/

[28] Lire article 26 https://www.un.org/fr/about-us/un-charter/full-text

[29] Voir https://www.assemblee-nationale.fr/dyn/deputes/PA840947

Publié par Benjamin Joyeux

Journaliste indépendant

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